Je retourne parfois voir le vieil arbre dont je parle dans un précédent article et au creux duquel s'épanouissait un étonnant microcosme. Voici donc à gauche une photographie récente, prise au même endroit plus d'un an après la première. Bien sûr, les saisons ont passé et l'hiver a balayé ces éphémères existences, mais de nouvelles ont vu le jour, se sont développées, en un nouveau fragile poème… Eh oui, la vie continue.
